Les travaux de création du bassin de gestion des eaux pluviales de Bassens ont été ralentis par des conditions météorologiques exceptionnellement pluvieuses à l’automne. Une suspension temporaire du chantier a été décidée afin de garantir une reprise dans de bonnes conditions techniques et de sécurité. Reprise du chantier à partir du printemps 2026, sous réserve de conditions météorologiques favorables.
Une géomembrane a été installée pour contrôler les eaux récupérées dans les sources environnantes avant qu’elles ne rejoignent le réseau d’eau pluviale. La finalisation du projet consiste à remettre en état le cadre naturel du lieu par des aménagements et une végétalisation. Une barrière sera également mise en place pour protéger l’accès au bassin. Prévu depuis longtemps dans le cadre des schémas directeurs des eaux pluviales, cette réalisation a pour but de limiter les risques d’inondations lors de forts épisodes pluvieux.
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La Commune a obtenu le rapport de l’expert en hydrogéologie, qui a pu analyser la stabilité et le niveau de pollution du remblai. Selon son compte-rendu, la stabilité peut être assurée et le sol, faisant état de faibles impuretés, peut être assaini.
Catherine Anxionnaz, Maire de Bassens, a décidé de mettre les fautifs devant leurs responsabilités.
Une plainte a été déposée, le remblai ayant été réalisé en infraction avec les codes de l’urbanisme et de l’environnement. Les services du préfet, via la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL), ont été également saisis et ont établi un rapport à destination du Procureur de la République.
La Ville de Bassens est désormais en attente de la suite donnée à cette procédure judiciaire, sachant que la volonté du Maire est d’obtenir la remise à l’état initial du site dans le cadre de la condamnation des auteurs.
Après d’importants travaux déjà réalisés à l’aval du Nant Petchi, des aménagements sont menés, sous l’égide du CISALB – Comité Intercommunautaire pour l’Assainissement du Lac du Bourget, sur le tronçon du cône de déjection (relief qui se forme lorsqu’un cours d’eau débouche d’une zone à forte pente vers une zone à pente douce). Ces interventions, réalisées dans le cadre du schéma directeur des aménagements nécessaires à la protection contre les inondations du bassin chambérien, seront finalisées à l’automne 2025.
A partir du mois de juillet, à l’initiative du service mobilité de Grand Chambéry, le point de régulation (permettant simplement de réguler le trafic du réseau Synchro – le bus ne prend pas de voyageurs à cet emplacement) sera déplacé entre le rond-point de l’avenue de Turin et l’entrée du nouveau rond-point de Carrefour-Galion au niveau de la rue de Bolliet. Un nouvel emplacement sera créé à l’avenir pour libérer cet espace.
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Pour sécuriser au mieux tous les modes de déplacements doux, des travaux, pris en charge par le département et pilotés par Grand Chambéry, sont engagés sur le rond-point d’accès à la VRU du 21 juin jusqu’à la fin du mois de septembre. Des plateaux surélevés vont être installés avenue de Mérande et avenue de Bassens (en face de l’amiral), s’ajoutant à ceux déjà présents aux entrées/sorties par la rue de Gonrat, par la VRU et par l’impasse de l’avenue de Bassens. L’objectif étant de permettre aux piétons, cyclistes et trottinettes de faire le tour en toute sécurité. Le rond-point conservera la même dimension et deux ou trois arbres malades ou gênant la visibilité seront retirés. De nouveaux arbres seront plantés dans les espaces verts en bordure pour végétaliser les abords. A noter également l’ajout d’une séparation minérale (gabion) autour du giratoire pour protéger au mieux les piétons et cyclistes des voitures.
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Dans l’optique de la fermeture du réseau cuivre ADSL national en 2030, la Commune a été choisie par Orange pour être précurseur pour un accès prioritaire à la fibre avec objectif de relier tous les foyers avant 2027. A ce jour 85 % de la Commune est équipée.
La fermeture technique du réseau cuivre à Bassens sera effective le 31 janvier 2027. Toutes les prestations d’accès au réseau cuivre devront avoir été résiliées par chaque opérateur. Les usagers, particuliers comme professionnels, devront migrer vers le réseau de fibre optique, ou selon le cas, vers une solution alternative, afin de conserver l’usage de leurs services.
